Encyclopedies du Rexcan

De nombreuses bibliothèque ont été construite en Canédie, simplement parce que les Mahamets conservaient leur savoir dans les livres. Les corbeaux en connaissent aujourd'hui quelques unes.

Un regard sur la bibliothèque des ouvrages perdus de Carcik


Carcik est une ville construite dans un cratère en forme de cercle écrasé en son centre (presqu'un huit). Vu des hauteurs du chemin impérial qui cours jusqu'à Oprofonde, la ville est un patchwork de milliers de toiles tendus, aux multiples couleurs. C'est un immense marché, où toutes les guildes et marchands indépendants, aventurier, roublards peut installer son étal et vendre à n'importe quel prix. Mais la cité présente aussi des structures solide, d'anciens bâtiments d’un autre temps, construit sans logique, avec parfois, la porte la plus large au sommet de l'édifice. Ces bâtiments sont le siège des grandes guildes marchande du Rexcan, et l'une des entrées vers les profondeurs de la cité. Ville de l'ancien monde, elle s'étend sur plusieurs niveaux sous la terre. Six sont connus et regorge de taverne, d'échoppes, de casernes, et d'auberges en tout genre. Le septième niveau de profondeur est l'antichambre d'un monde oublié. C'est dans ces labyrinthes souterrains que reposent des ouvrages perdus. Pour en remonter la piste et comprendre la géopolitique des lieux, il faut s’intéresser à la guilde des Menthax et à son maitre Ougandol. Ce dernier à tisser un lien très étroit avec l’émeraude de la Mangole, sorte de dieu jumeau, adoré par de fervents cultiste. La Mangole est un dieu formé par un homme serpent et une araignée géante. Aujourd’hui cette guilde est dirigé par Dame Valeria et ses messagers de la croisée.
Ougandol, grâce à ses accointances étranges, a pu cartographier les sous-sols de Carcik au-delà du septième. Trois édifices importants apparaissent sur ses cartes : Le temple des douleurs, qui semble être une construction naine, la forteresse du cygne qui remonte jusque dans la malepoussière, et la bibliothèque abandonnée, de création elfique et illithids. C’est cette dernière qui nous intéresse.
En effet, cette bibliothèque est formée de plusieurs plateau de livres, protégé par une incantation de lévitation. Les mages qui ont pu « visiter » la bibliothèque, ont tous ressenti une impressionnante puissance montée des livres sur lesquels il marchait sans les toucher. Chaque plateau est circulaire, de 100 mètres de diamètre, et présente en son centre un trou noir permettant de circuler d’un étage à l’autre par de la téléportation. L’un des plateaux, plus petit, d’un diamètre de 20m, présente une haute entrée (sortie ?), composée de 3 portes. Celle du centre est haute et en pointe avec de nombreuses inscriptions elfiques. Les deux plus petites de part et d’autre, sont une copie avec des inscriptions assurément illithids.

Toutes les pièces de la bibliothèques présente huit fauteuils, et autant de tables. Ces meubles sont légèrement bleutés, et d’après les visiteurs, fabriqués par de la magie pure bleu, de la milinne, des pièces d’adamantite d’un vert clair pafait, et un bois étrange de couleur rouge foncé. Ces fauteuils sont décrits dans divers ouvrages comme des catalyseurs d’énergies permettant de communiquer avec les Géancéphales, même éloignées. Le géancéphale est une sorte de liquide céphalique régissant les communautés de flagelleurs (illithids). Les ouvrages perdus font beaucoup parler d’eux dans les ouvrages de mages aventuriers, ou les chansons de bardes. Il est de connaissance publique que parmi ses fabuleux ouvrages formant les sols des étages de la bibliothèque abandonnée, se cache un Vademecum Ars Magica.
La bibliothèque abandonnée de Carcik n’a que de très anciens témoignages de visites, et nul ne sait aujourd’hui, où elle se situe sous la cité.

Regard sur les bibliothèques de Lizeline

Cette bibliothèque est accessible sur autorisation ducale et accompagné d’un professeur de l’université de magie.  Il y a dans ses rayons, de vieux ouvrages, grimoires, et parchemins sur les théories de magie, de nombreux sortilèges et quelques volumes sur l'histoire du Rexcan. Les ouvrages les plus précieux sont :  Théorie des déplacements telluriques, Conversations avec les mondes spirituels, tables de la magie lienys, et le précieux accord des Vracelles.

L’Accord des Vracelles

Ce dernier livre est un ouvrage d’un mètre de hauteur sur 70cm de largeur. Sa couverture est un alliage de peau et d’organes de Tanaris et Baatezu s’affrontant violement. Cet ouvrage a été rédigé par une communauté d’ogre mage de Vracelle il y a plusieurs siècles pour remercier le Rexcan de leur aide dans l’exile des ogres. C’est un recueil de magie de contrôle sur les créatures démoniaques et leurs acolytes. Cet immense ouvrage est scellé dans la pierre, derrière une lourde porte protégée par plusieurs cercles de runes sacrificielles. Il n’y a que le grand maitre de l’université, le recteur, qui puisse ouvrir cette porte en offrant volontairement son sang.

Tables de la magie celeste

Ce grimoire est l’un des plus mystérieux ouvrages. Il reprend plusieurs textes sur le développement des races de dragons dans un langage que peu d’érudits sont capables de lire. Son contenu développe les capacités magiques des dragons par géographie. Le respect de la nature, des éléments, de la mort, et de toutes les relations entre elles est au cœur de l’ouvrage. Son auteur est probablement le dragon Pagigott

Le codex des esprits (conversations)

Le mage Bulbrius est peu connu. C’est pourtant l’auteur principal de cet ouvrage. Le codex des esprits contient à peu près toute la connaissance humaine du monde des morts, des mort-vivants et des âmes à leur service. Ce livre est un programme de formation en nécromancie pour néophyte. Il est caché à Lyzelyne, Il a eu son heure de gloire il y a près d’un siècle, lorsqu’un groupe d’étudiants s’est mis en tête de s’en servir pour comprendre la nécromancie des villages Véhénites. Le livre permet de contrôler beaucoup de mort vivant et d’en apprendre sur la magie du sang.

Théorie des déplacements telluriques

Ce livre est un petit recueil de soixante pages rédigé par le calife Alodée. Il est truffé de piège magique et de portes dimensionnelles visant à instruire le lecteur, ou à le perdre dans d’antiques cachot, sans possibilité de retour.

Regard sur les écrits encyclopédiques (la livendellie) de Marelle

Ouvrages rares recueillis par Rehin Livendell dans sa bibliothèque personnelle. Ces ouvrages concernent principalement les liens entre démon et leur impactes sur les mondes connus. La bibliothèque de la Manil d’Oprofonde a fait édité des mandats darret contre la maison Livendell qui lui aurait volé quelques ouvrages.

Regard sur la grande bibliothèque arcanique du tombeau Tyl Enyr

Ancienne bibliothèque qui regorge de magie elfique. La grande bibliothèque est divisée en trois chapitre : Les arcanes, Les Sanctus (histoire et informations sur le sanctuaire et la Milinne), et le chapitre de la diplomatie et la géopolitique des mondes d'intelligence.

Regard sur la Manil de Turin à Ôprofonde

Encyclopédie démoniaque, ouvrage outreplanaire, fables et fabuleux, histoire du Rexcan

Publié le samedi 7 mai 2011 par Le gardien