Fdack : le Rexcan avant l'Empire que nous connaissons.

Petites envolées de Richèse Ademar sur les liens qui unissent vos aventures aux grands desseins. Si vous désirez entrer dans son cerveau c'est par ici !

Le Rexcan

L'histoire du Rexcan est très riche d'évènements et d'enseignements. Des faits marquants ont profondément changé la politique et la géographie des principales villes. Anciennement les trois joyaux régnaient sur le Rexcan, seule une est encore en activité, O Profonde. Caril et Tyl Enyr finalisent le tryptique. Elles sont toutes deux enfermées dans une sorte de bulle magique.

Tyl Enyr.

Tyl Enyr était la ville des elfes de la nuit. Ce peuple qui vénérait la lune était naturelement surdoué dans tous les arcanes magiques. Ils représentaient la puissance et la magnificence de tout un empire. Officiellement, l'empereur du moment enferma tous les elfes dans leur cité sans aucune possibilité d'en sortir. La peur des hommes d'être déposé par les elfes semble être la raison. Une prison dans une prison, une sorte de Rexcan dans le Rexcan. Si les elfes de la nuit ont subsisté, il est fort à parier qu'ils auront une profonde rancune contre les humains félons. Notons que Melgeth à invité Tâh dans cette ville, un piège à coup sur. Nous pouvons imaginer que les Negath seraient intéressés par la réouverture de cette cité, un stratagène pour se débarrasser d'un trouble fête à moindre frais. Un autre texte troublant pourrait concerner cette cité. Il est dit que la guerre entre les trois puissances Vegelle, Arlgass et Neetell opposés à Borann vit tout ce groupe enfermé dans une cité pour l'éternité. Est-ce une simple coïncidence ou bien une écriture de l'histoire. Ce qui est facheux c'est que cette ville tombeau correspondrait en tous points au descriptif de Caril mais la chronologie ne peut correspondre. Cette guerre est relatée 700 ans après les faits et Caril fut recouverte, enfermant l'empereur fou, entre autre il y a de cela 200 ans. Rappelons ici que Tulnik innocula la mort blanche dans la ville afin de l'isolée et fut enchainé 100 ans puis 100 ans de plus puisse que cela arrangait toute la classe dirigeante du Rexcan.

Le texte des guerres Occitanes.

Ce texte doit être décrypté de toute urgence.
Quand et où à eu lieu cette guerre, Qui était ce roi fou, quel type de folie frappa ce roi car les empereurs du Rexcan sont souvent sujet à la folie. Où se situ la porte d'érable. La mémoire de ces fameux barbares ne se perpéturait-elle pas à travers les Sépulcrins, que reste-t-il du culte de Borann aujourd'hui puisque c'est Valon qui le remplace dans le coeur du Rexcan. Quel est le nom du premier adversaire d'Azroliark ?
La guerre qui opposa les dieux avait comme origine la lutte entre Azroliark et un autre démon Baathézu. À notre connaissance, le seul démon qui défi Azroliark est notre ami Gléménoth. Est-ce un Baathézu, Azroliark aurait-il du donner son véritable nom à cette époque afin de vaincre son opposant ou bien fuir la région lors de sa défaite contre Borann. Une chose reste certaine, Gléménoth chasse Azroliark sur les terres du Rexcan et cela fait bien longtemps.

Les mahamets

Les Mahamets, ce peuple fait de flamme liant magie et rites sont à l'origine de tous les sites mystiques du Rexcan. Le temple aux abors de Lyseline a vu se succéder les elfes, les véhénites puis les hommes, le tout sur des fondations mahamet. Le gardien du temple dans les profondeurs d'Oprofonde est bien un mahamet enfermé dans une cage. les thermes aux mille bassins de Marelle, refuge de notre ami Réhin Livendel accueille  en son sein un temple mahamet par lequel Réhine communique avec son maître. La guerre opposant les démons a vu la quasi disparition des mahamets, certainement du à un mauvais choix d'allégeance. une question se pose alors, quel type de lien pouvait-il y avoir entre un démon et un peuple que j'ai du mal à imaginer béliqueux. La curiosité pourrait me mener à avoir une discussion avec le gardien du temple sous Oprofonde. 

LE ROJU.

Les dieux.

Si on admet que la puissance des dieux est directement liee à la ferveur des hommes, la disparition de ces derniers entraineraient la misere et l'oubli des premiers. La ferveur des hommes est souvent liée à leur souffrance. La piété est souvent le dernier refuge de la pensée. Ceci expliquerait que les dieux interviennent très peu dans les conflits qui gouvernent le monde. Les dieux seraient les rentiers de nos larmes. Maintenant si le conflit aurait pour consequence la disparition des hommes au sens très large j'entends, alors nous pourrions admettre que les dieux s' entendent pour preserver leur fontaine de jouvence. A notre connaissance seul le retour de Silkult pourrait et aurait la volonté d'anéantir les hommes. 

Slilkult.

Si on considère que Slilkult est à la source du tout et du rien et que sa chute éparpilla certains morceaux du tout. Nous pouvons imaginer que la reunion des morceaux pourrait rendre à Slilkult suffisament de force pour absorber tout... surtout ceux qui sont désignés par la légende comme les promoteurs de sa chute initiale. La légende dit également que Bellamala a receuilli ces fragments et que des artefacts d'une immense puissance auraient été forgé. 

Lors de la guerre qui oppose Sronhischt à Bellamala, les artefacts lui furent subtilisés. Il parrait alors plausible que les dieux en profitèrent pour cacher ce ou ces artefacts. Il fallait créer un abri qui ne permet pas aux entités d'agir directement, qui n'appartienne à aucun dieu, stable dans le temps et surtout habité par des êtres suffisament ignorant pour se satisfaire de leur prison dorée. Le Rexcan voir bien plus sur ce plan était né. Les dieux se mirent d'accord pour créer ce monde à part. Il est tout de même étonnant de constater que les êtres les plus brillant de notre temps ne puissent pas sortir de ce plan. Tout est fait pour que l'artefact demeure en sécurité. Cependant nous sentons que la citadelle se fissurent, tout le monde converge en ce point précis. Un détail troublant pourrait expliquer cette fissure, la plupart des temples que nous avons eu l'occasion de visiter étaient désertés. Les dieux semblent perdre prise au Rexcan, c'est donc le moment pour tous les autres acteurs de se mettre en mouvement. Les entités avancent leurs pions, les dragons se réveillent. Nous sommes au Nexus, le carrefour entre l'histoire et le néant.

L'amulette.

Il est fort à parier que la partie du Roju se fait en deux temps, la première est de trouver les différents éléments qui le compose ensuite la question est de savoir se qu'il adviendra de cet artéfact. L'utiliser, le détruire, le faire sortir de ce plan pour le mettre à l'abris.

Nombre de personnages cherchent à s'évader. Nous savons que les Eréquiens de Lyseline cherchaient à créer ce portail. Les Eréquiens semblaient être une puissante guilde de mercenaire de Sigil et le plus éminant représentant connu de ces guildes n'est autre que Sorn. Le lien est peut-être un peu rapide mais l'indice existe. Nous savons également que les orques Taures cherchent à ouvrir un portail aux abords de Cristaline. Je ne peux pas m'empêcher de penser que les agents de Bellamala cherchent des points de sortie possibles. Ma conclusion serait de faire sortir le Roju afin de le rendre innacessible.

Sronhischt aurait créé un puissant artefact au doux nom de kâolam ou l'ame du chaos. Il a la particularité de renvoyer les créations de Bellamala vers leur créatrice. L'autre particularité que j'ai eu l'occasion de ressentir c'est que le Kâolam est avide et prend plus de force et de présence à chaque utilisation. C'est un artéfact à deux visages, l'est une arme redoutable contre les armées de Bellamala et l'autre semble provoquer le retour en puissance de Slilkult.

C'est pourquoi en restant caricatural Bellamala cherche le Roju afin de le faire sortir du plan et le mettre à l'abris, Slilkult par l'intermédiaire des Négath cherchent le Roju afin de l'utiliser au maximum et de réveiller Slilkult. Les dieux veulent cacher le Roju pour sauver les croyants et avoir un argument de poids faces aux entités. Reste Adhémonium qui semble tiraillé entre une victoire décisive contre sa soeur au prix du retour de son pére et la destruction de sa création au prix d'une défaite quasi certaine. Adhémonium semble être perdant dans tous les cas. La justice divine qui risque d'emporter bien trop d'innocents. La question est de savoir comment il projète sa fin, en étouffant son pére ou bien en emportant sa soeur. 

Les pions des grandes puissances.

Les négaths semblent être vidés de toute substance, vidés par un être aux abois, avide de tout. Ils semblent ne pas se rendre compte de ce qu'ils font, ils ne peuvent se rendre compte qu'ils nous mêne tous à leur propre perte. Les dires décrivant Turdain se rebélant contre Adherzo pour rallier Azroliark semble indiquer que tout n'est pas perdu pour les négaths. Je suis sur que cette malédiction peut se combatre et ainsi nous rendre nos valeureux compagnons. Les plus illustres représentants seraient le général Weulss chef du renseignement et Tolgas Mangemort un guerrier redoutable. Les forfaits les plus notables sont le vol de la mémoire des ilitides, un des trois peuples sousterrain et retournements de grands de ce monde afin de destabiliser l'empire. Nous leurs avons ravi la dépouille du défunt Pénédron Ultokar.

Il me semble étonnant que Bellamala n'ait choisi comme champions aucune de ses créations, à part peut être les ogres Salouan et et Charpatka. En même temps ils ne pourraient pas approcher personnellement le Kâolam. Le Champion de la belle du mal est un démon Baathézu, du nom d'Azro d'Aergis Liark. Ce dernier a su se hisser au rang de prince démon et ses généraux sont nombreux et complémentaires. Turdain avec les orques taures, les ogre-mage Salouan et Charpatka qui auraient infiltrés le haut conseil de justice de l'empire, les drakonians avec leur roi malade Serminh Takisis, qui serait basé dans les contreforts de la montagne du confin au sud-est du Rexcan. Sorn, un des chefs des guildes de mercenaires de Sigil, la ville anneau au coeur des plans. Il aurait avec les drakonians abattu et incendié l'océan vert. Enfin, nous avons Rinagor peau de mort qui fait ou faisait parti du culte du serpent. Il a vendu son âme à Azroliark et serait à l'affùt dans les monts du confin au coeur du royaume Sahaar, le royaume des géants du nord que nous avont offensé en volant entre autre l'épée de justice. Les généraux d'Azroliark se font très discret depuis le retour du dragon d'or Zaccharos et la rumeur que nous avons en notre possession le Kâolam.

Les dieux ont leurs champions également, les bâtisseurs. Nous en avons identifié trois qui seraient encore vivant mais qui se terrent. Réhine Livendel, maître illusioniste de Marelle, Eskeinzern de Turin... Le magicien, Le forgeron de Lyseline qui vient de disparaitre. Nous, corbeaux négaths et autres pantin démoniaques devrions être le bras armé qui devait les punir et les châtier pour leur félonie envers les entités mais je doute que nous soyons foncièrement opposés. Nous cherchons peut-être juste à survivre au grand jeu des Entités.

Resterait le jeu des dragons qui semblent être bien trop impliqué dans cette ronde pour être honnêtes. Pourquoi ne restent-ils pas neutre tout comme le trouble fête, Gléménoth le démon en mal de vengeance avec ses généraux, Melgeth, Maatholgar et Asatella.

Il est étonnant de constater que tout le monde s' intéresse au grand jeu du Rexcan et que les plus zélés animateurs soient une petite troupe de corbeaux inexpérimentés qui sont dans la plus totale ignorance de ce qui se trame vraiment... Cela n'en restera pas là. Notre curiosité plus ou moins naturelle nous poussera à de nouveau faire tourner la grande Roue du destin.

Commentaires

1. Le vendredi 6 novembre 2015, 12:33 par le Gardien

J'ajoute simplement mon grain de sel pour préciser qu'il y a un peu de vrai dans ce texte, même si Fdack anticipe encore.
Rien ne vous pousse à croire qu'il y a d'autres puissances en jeu, que les trois impliquées depuis le commencement.

Si ce n'est le Kaolame mais c'est une belle fiction romancée qui l'entoure ici... Je précise:

Il existe cependant une histoire, gardée comme une prophétie chez les elfes sylvains, qui décrit chaque dieu comme une espèce d'oiseau, et le corbeau comme l’âme chaotique de la nature; celui qui rétablirait l'équilibre des voies célestes. 

Une autre légende, ou plutôt, un conte que l'on raconte les soirs d'hiver aux jeunes humains des tribus Drun Doms, et même aux gobelins parait-il.
Celle-ci raconte que dans les temps anciens, les oiseaux rigolaient bien... Ils riaient de bons cœur, car tous avaient dérobé une part du cœur et de l’âme des cieux pour en faire un foyer de bonheur, leur foyer.
Le conte décrit pour les enfants qu'il ne faut pas voler aux pairs, et encore moins au père, car il s'en suit larmes et mort. Ce conte permet dans les tribus barbares, ou simplement de culture orale, de faire comprendre aux enfants, que l'esprit de famille, l'esprit tribal est le socle de la survie.
Dans ce conte, le corbeau est une nouvelle fois l'oiseau de malheur; ici, il punie pour le compte du père.

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